Quelles règles précises pour le préférendum?

Bonjour @sdm94
Je viens de découvrir ce forum qui fonctionne comme le discourse du parti pirate et je me rends compte que je soutenais déjà le concept du préférendum (sans en connaître le nom) notamment dans la dernière consultation de Parlement & Citoyens (voir les 9 sources dans l’onglet « sources » de ma proposition).

Je conseille la première seulement (la meilleure), sinon comment déterminer x, d’autant plus que les propositions « réputées adoptées » pourront être contradictoires.
Dans tous les cas de jugement majoritaire pour remplacer les élections de personnes (type présidentielle), on n’élisait qu’un seul président, mais en jugeant tous les candidats.

On pourrait envisager de refaire l’élection si toutes les options ont une mention majoritaire de « à rejeter » comme cela a déjà été envisagé, mais adopter toutes les propositions obtenant « assez bien (ou bien, ou passable ?) » ou plus, cela reviendrait de facto à n’avoir que 2 mentions : plus que la mention en question (–> ça passe), moins que la mention en question (–> ça ne passe pas), revenant à un funeste scrutin binaire oui VS non. Et accessoirement on a le même problème qu’au-dessus, sauf si chaque proposition concerne en fait autre chose, et donc que les propositions ne soient pas comparables entre elles.

Voilà, c’est l’un des problèmes que je soulevais au-dessus. Toutes les propositions sont censées être des « solutions » différentes, et donc s’exclure, sinon elles dépendent d’un autre point et sont donc à traiter dans une autre question de préférendum.

Tout dépend l’importance qu’on donne à la « majorité » (= >50%). Il y a 2 vidéos à ce sujet dans les sources du lien que je donne. La proposition citée incite les électeurs plutôt contre (au moins, la votant en-dessous de la mention majoritaire) une proposition à exagérer leur vote en mettant « à rejeter ». Reste également la question du seuil, qui risque d’être aussi arbitraire et injustifié que dans les majorités qualifiées et dans les quorums.

Ceci n’empêche pas en effet que « si un électeur sur 3 considère que la proposition est à rejeter ne court on pas le risque de fracture dommageable ». Le problème ici n’est pas le nombre d’ « à rejeter », d’ « insuffisant », etc, mais de savoir si l’on impose à la minorité (voire la majorité s’il y a seuil ou majorité qualifiée) une décision contre laquelle ils ont voté, d’où la question de comment se sont formées les communautés politiques (la réponse : le droit du sol et le droit du sang, auquel on peut ajouter la reliance à un territoire, la barrière linguistique et toutes sortes d’autres barrières).

Personnellement ma réponse intuitive est de re-proposer des options supplémentaires. D’ailleurs, il faudrait aussi voir comment les options peuvent s’ajouter, donc prévoir un temps avant la campagne préréfendaire, pendant lequel des propositions pourraient être déposées (par qui, comment, s’efforcer d’avoir assez d’options différentes sans avoir de redondances, …) d’où

puisqu’il s’agit bien évidemment de ne pas éliminer le vainqueur de Condorcet potentiel avant le vote

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